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 Usines à chiens : la SPAA montre les «crocs»

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MessageSujet: Usines à chiens : la SPAA montre les «crocs»   Usines à chiens : la SPAA montre les «crocs» EmptyMar 25 Nov 2008 - 5:32

Usines à chiens : la SPAA montre les «crocs»

Il y a ceux qui préféraient ne pas regarder ce documentaire-choc sur les usines à chiens de l’émission Enquête. Mais il y en a d’autres qui, après l'avoir vu, ont sorti les «crocs». La directrice générale de la Société protectrice des animaux d’Arthabaska (SPAA), http://www.spaavic.com/default.asp?news=7 Dominique Roux fait partie de ceux-là. «On a eu des téléphones de gens inquiets, qui se demandent si ça se passe ici, ce qu’ils peuvent faire pour contrer un tel phénomène», a-t-elle dit, au lendemain de la diffusion du reportage.
Des chiens maltraités, négligés, battus, abandonnés, Mme Roux dit en voir tous les jours. «Et ça me choque qu’on n’en prenne pas conscience!»

En trois semaines, la SPAA a accueilli une quarantaine de chiens faméliques, décharnés, malades, hagards issus de trois saisies menées par Anima-Québec. Une dizaine ont pu être dirigés vers une famille d’accueil d’ici. D’autres ont trouvé refuge à la SPAA, quelques-uns ont dû être euthanasiés tellement ils étaient mal en point.

«Il ne faut surtout pas se fermer les yeux et se dire que ça n’arrive qu'ailleurs. J’espère que ce documentaire va contribuer à mobiliser les gens.»
Une coalition?
Dominique Roux ne sait pas encore comment elle s'y prendra, mais elle voudrait profiter de l’actuelle campagne électorale pour créer un mouvement, une coalition, une pétition.
Les municipalités, dit-elle, détiennent les premières clés pour discipliner ces chenils où les animaux sont presque abandonnés à eux-mêmes, vivant dans des cages infectes en compagnie de rongeurs.

Peu de municipalités des MRC d’Arthabaska et de l’Érable possèdent des règlements encadrant les élevages de chiens, déplore-t-elle. «Une réglementation municipale, c’est le minimum pour nous permettre d’intervenir.»

Là où on les exige, les permis de chenil obligent les éleveurs à présenter un plan d’affaires, à identifier leurs chiens, à les garder dans des installations adéquates. «Et ils nous donnent un droit de visite sans avertissement», précise Dominique Roux.

Règlements, lois provinciales et fédérales constituent par ailleurs un beau «fouillis» actuellement, prétend la directrice générale de la SPAA. «Au Québec, les sanctions ne sont pas vraiment pas assez sévères, une amende de quelques centaines de dollars ou encore des travaux communautaires!»

Et puis, ajoute-t-elle, les sociétés protectrices des animaux n’ont pas, comme Anima-Québec, le pouvoir de porter des accusations au criminel. «La Sûreté du Québec peut le faire si nous procédons à une saisie. Mais c’est très compliqué pour les policiers aussi.»

Un reportage comme celui qu’a présenté Enquête devrait contribuer à délier les langues, espère Dominique Roux, «à faire en sorte que les citoyens n’hésitent pas à porter plainte s’ils constatent que des animaux sont maltraités».

Évidemment, précise-t-elle, il sera difficile pour la SPAA de prendre sur le fait quelqu’un qui bat son chien, même si le voisin dit l’avoir vu.
Princeville change d'idée
Mais pour ce qui concerne la qualité des lieux d’élevage, la SPAA peut intervenir dans les municipalités où elle a conclu des ententes.
Ainsi, la Ville de Princeville, qui avait d’abord décliné l’invitation de la SPAA, vient tout juste d’y adhérer à la suite d’un problème survenu sur son territoire.

Princeville rejoint ces dix autres municipalités ayant signé des ententes avec l’organisme de la rue de l’Acadie : Victoriaville, Saint-Christophe-d’Arthabaska, Sainte-Sophie-d’Halifax, Saint-Norbert-d’Arthabaska, Norbertville, Warwick, Tingwick, Saint-Rémi-de-Tingwick, Sainte-Clotilde.

Récemment, la SPAA intervenait dans une maison privée où trois chiens avaient été laissés à eux-mêmes durant une semaine, sans eau ni nourriture. La maltraitance prend toutes sortes de formes, souligne Dominique Roux.

Actuellement, la SPAA est surpeuplée, abritant une cinquantaine de chiens, dit-elle. «Quand ils se retrouvent ici, c'est une chance pour eux. Beaucoup, même s'ils ont été maltraités ou négligés dans le passé, peuvent devenir de très bons chiens quand ils trouvent une famille qui en prend bien soin», précise encore la directrice générale de la SPAA.

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